Pour arriver dans cette petite ville de Lambeyeque, nous montons dans un combi d’une quinzaine de places.
Entassés les uns sur les autres, nos gros sacs sur les genoux, les fenêtres ouvertes pour ne pas mourir de chaud, nous roulons en plein désert sur la panaméricaine qui file droit sur des centaines de kilomètres. Aucun virage, aucun changement dans le paysages, du sable à perte de vue, du sable à n’en plus finir, au point d’en endormir notre chauffeur…
A Lambayeque, nous trouvons une ville agréable aux couleurs chaudes et ocres et aux habitants accueillants.
Entre le vendeur de potions médicinales à base d’Aloe Verra (une boissons visqueuses mi sucrée mi amer, on ne saurait dire si on a aimé), les bonnes femmes qui nous en vantent les vertus tout en parlant politique, la vendeuse de ceviche au mercado central, le jeune Carlos qui nous pose tout un tas de questions sur la France, les familles attablées à nos côtés intriguées par ces deux français : nous nous sentons plus que bien dans cette ville !
Nous décidons cependant de poursuivre notre descente vers le sud après avoir visité le musée « de las tumbas reales de Sipan » (musée très bien fait et très intéressant sur la découverte de la civilisation Moche).
Vous parlez de Combi sans jamais en montrer, j’exige une photo d’un combi entassé !!
Bises
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